Touche pas aux 35 heures !

Publié par sudars le

attention

** 13 septembre 2010 – Nous avons envoyé un second courrier au directeur général, car le directeur de ce CHRS ne respecte toujours pas les conditions d’application de cet accord 35 heures : non-respect des délais d’affichage et de communication des plannings et non-respect de la programmation de trois mois. Pas simple…

 

Lire notre courrier.

 

** 25 août 2010 – Nous avons reçu un courrier du directeur général au sujet de la situation de cet établissement, et notamment la casse des 35 heures (lire ci-dessous). Pas de nouvelles des administrateurs… Aux abonnéEs absentEs.

Sur ce dernier sujet, il confirme le passage en force des nouveaux plannings du CHRS et donc la casse des 35 heures (car les journées de travail vont faire 4h, 6h, 8h ou 10h, à un rythme irrégulier et à la guise du directeur). Nous prenons acte. A suivre évidemment !

Lire la réponse officielle du directeur général (courrier tronqué car comportant plusieurs sujets).

 

** 9 août 2010 – Nous avons adressé un courrier au directeur général et aux deux présidentEs afin qu’ils stoppent cette casse des 35 heures. C’est pour nous un casus belli !

Lire notre lettre.

 

** 9 juillet 2010 – Une nouvelle fois (voir la précédente mobilisation de mars 10), le directeur d’un des Centres d’hébergement (CHRS ARS Pierre Vivier à Nancy) change l’organisation des plannings et en profite, au passage, pour exploser l’usage des 35 heures dans l’association : finies les journées de 8 heures (elles vont maintenant de 5 à 10 heures), finies les semaines de 35 heures (elles vont maintenant de 22 à 43 heures) et bonjour le compte-horaires qui va rendre les salariéEs totalement redevables d’heures et à la merci du patron. Toujours plus de souplesse et de disponibilité !
Cet établissement est le laboratoire de ce directeur, qui continuera probablement sa casse sur le Centre d’hébergement voisin (CHRS ARS Camille Mathis à Nancy). Et ensuite, à qui le tour ?

SUD ARS s’oppose très fortement à cette casse des 35 heures telles qu’elles existent dans l’association depuis plus de dix ans, même si le directeur général se refuse de la reconnaître (voir sa note de service d’avril 10). Nous ne voulons que des journées de 8 heures et des semaines de 35 heures (ou quinzaine de 70 heures) ! Rien d’autre ! RETRAIT DE CES PLANNINGS !

Lire notre premier tract.

Lire un exemple de planning (nous avons volontairement effacé le nom des collègues dans la colonne de gauche) qui montre bien, sur cette quinzaine (octobre 10), ces insupportables journées de 4h75 ou de 10h et ces semaines de 28h ou de 43h ! Aux ordres du patron !

Lire également notre dernier journal syndical (daté de juin) qui évoque longuement cette destruction de notre cadre de travail.